Monsieur Christophe YIMGA

Domicilié à Avignon 84000

Né le samedi 27 juillet 1974

Décédé à Avignon (84000) le jeudi 26 juin 2025

Espace condoléances

de Monsieur Christophe YIMGA

L'arbre du souvenir

La Maison des Obsèques participe à la défense de notre planète : en coopération avec Trees for memory, nous finançons la plantation d’un arbre pour chaque défunt qui nous est confié. 
Un arbre-souvenir planté = 226 kg de CO2 absorbés.

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Je souhaite également planter un arbre

In mémoriam

Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Christophe YIMGA.

Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même.

N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile.

Merci d’avance.

Les condoléances

Mon cher frère, tu es parti . Nous t’aimons. Nous sommes fier de toi. Nous te remercions. Homme de foi, d’amour et d’humanité, Christo. Au revoir l’artiste. Que tes enfants, parents et amis sachent que nous les aimons. Democrates D

Soumahoro Hassan Allangba

Nous garderons en mémoire une force de la nature indomptable, qui a vécu chaque instant avec une énergie hors du commun. Le partage de ses talents culinaires témoignait de sa générosité et de la grandeur de son cœur discret, que seuls les plus proches pouvaient réellement percevoir. Que la douleur soit adoucie pour l’amour de sa vie, à qui il laisse une empreinte indélébile, ainsi que pour toutes les personnes qui ont eu la chance de découvrir sa véritable nature. Que la terre lui soit légère et qu’il puisse enfin trouver la paix éternelle. 🤲🏽🫶🏾

Aw Mariame

Chrysto

Tu fus un homme entre ombre et lumière
Tu fus l’un d’entre nous
Parce que dix ans durant
Tu as porté en amour même tumultueux
Celle que j’avais choisi pour fille
Et si les tumultes les déchirures s’estompent
L’amour perdure certaines fois
Entre deux êtres qui étaient
Presque nés de la même étoile.
Laisse moi te dire Christophe Yimga
Là tu as fait ton Chrysto
En partant en sourdine
Comme un nuage qui ne veut plus s’accorder au contre-vent.
Je garderai en mémoire ta musique
Qui me bousculait
J’entendrai ta voix dans le souffle
Des jours aérés
Comme lorsque tu me disais tatie
Parce que je t’avais accordé la grâce
D’être l’heureux homme au côté d’une
Déesse sénégalaise en la personne de ma fille choisie.
10 ans durant nous étions comme chien et chat
´Toi en être très caractérisé
Et puis au fur et à mesure
Tu t’es estompé
Tout comme une note
Mise en sourdine
Comme sans doute ton dernier souffle
Quel peiné de nez au vacarme du dehors
Chrysto Christophe Yimga
Ou mont’é an filao
Et là je te supplie
De continuer à virevolter
Comme un feu folet
Et nous faire signe
Du temps qu’il fait là-haut

Adieu Chrysto
Condoléances à sa Famille de Sang à Toi ma chérie et courageuse Djey Aw et tous ses amis

Migail

Montlouis-Félicité Migail

À toi qui as tant aimé ta Mami (Ma Djey), tu as fait de ton mieux. Elle t’a laissé partir par amour, et tu n’as jamais cessé de l’aimer. Pour elle, merci. Pars en paix… tu seras dans nos prières. Nous veillerons sur Djey

K Kari

Repose en paix Christo. Qu’Allah t’accueille dans son Paradis. T’inonde sa Miséricorde et illumine ta dernière demeure de Sa Lumière. Amine.

Merci pour ces 10 ans passés dans notre famille, les bons petits plats…

Aw Aminata

Adieu mon YIM, mon amour, mon mari, l’homme qui m’a aimée comme personne…

Tu es parti, et avec toi s’en va une part de mon histoire, de mon cœur, de ma lumière, de ma vie.

Tu as été l’homme qui m’a aimée le plus fort, le plus vrai.
Dans toute ma vie, je n’ai jamais reçu autant d’amour, de tendresse, de regard profond posé sur moi.
Jamais on ne m’avait autant sécurisée, autant protégée.
Avec toi, je me sentais invincible, au point d’oublier que la vie n’était pas un jeu,
au point de franchir des limites sans mesurer le danger,
jusqu’à réaliser, parfois trop tard, que certaines blessures brûlent.
Tu m’as vue, entièrement, même dans mes silences. Tu m’as embrassée avec ton âme, ton feu, ta folie douce et ta folie.

Dix ans à tes côtés. Dix ans de passion, de rires, de larmes, de vie pure.
On n’était pas parfaits, mais qu’est-ce qu’on était beaux. Vivants. Entiers.
Le monde nous voyait, nous sentait. On laissait une trace. Ensemble, on brillait.

Je me souviens de notre tout premier échange, comme si c’était hier :
– Bonjour, moi c’est Chrysto.
– Enchantée. Très bien, moi c’est Diamant.
– Madame, vous serez ma femme.
– Ah oui ?
Et c’était dit. C’était écrit. Le destin venait de parler.
Tu es né le 27 juillet. Je suis née le 28 juillet. Comme si l’univers avait soufflé doucement :
“vous deux, c’est écrit quelque part.”

Merci de m’avoir aimée comme tu l’as fait, aussi intensément, aussi longtemps.
Merci d’avoir cru en moi.
Tu m’as donné un amour que je n’oublierai jamais.

Et même si tu n’étais déjà plus là, ton ombre, elle, est à partir d’aujourd’hui,
comme si on pouvait recommencer à s’aimer autrement…
Dans mes pas, dans mes silences, dans mon souffle.

Je te rends hommage avec chaque battement de mon cœur.
Repose en paix YIM.
Je sais que tu m’emportes en toi, je t’emporte aussi pour toujours.

Aw Djeynaba